Rapport des Tendances
2025
Notre vision du marché
TRENDS REPORT
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Contenus
Connaissance du marché
Bienvenue
Informatique spatiale
Réseaux privés 5G
Rationalisation des applications
Cloud hybride
Sécurité de l'IA
L'avenir de l'IA
Conclusion
CONTENUS
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Les entreprises évoluent rapidement et doivent faire des choix quotidiennement. Aucune ne peut stagner en cette période de grands changements. Insight, intégrateur de Solutions de premier plan, répond aux besoins technologiques des ses clients en sélectionnant le matériel, les logiciels et les services les plus adaptés pour maximiser le retour sur investissement. Avec des experts reconnus et un vaste réseau de partenaires, Insight aide les entreprises à renforcer leurs capacités technologiques. Le Rapport des Tendances 2025 d’Insight offre une perspective unique sur les priorités des entreprises et propose une feuille de route aux Directeurs des Systèmes d'Information (DSI) et aux responsables technologiques.
Rapport des
Tendances
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Le secteur est en effervescence, avec des développeurs qui améliorent continuellement l'IA et des organisations qui cherchent à en tirer parti. Depuis l’avènement du Cloud Public en 2006 et de l'IA, la technologie influence les stratégies d'entreprise, impactant efficacité, qualité, expérience digitale et créativité. Développer et commercialiser rapidement des solutions pose un défi, poussant les responsables informatiques à collaborer avec leurs partenaires pour accélérer l'innovation.
Cette évolution a des aspects positifs : l'informatique gagne du terrain dans les conseils d'administration, accélérant l'innovation dans les domaines IT. L'innovation informatique est démocratisée, portée par des équipes diversifiées centrées sur le DSI/CTO, assurant un partage d'information, un financement ciblé et une feuille de route technologique intégrée.
Phil Hawkshaw EMEA CTO
sommaire
Rationalisation des logiciels
Contents
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L'informatique spatiale est actuellement l'un des sujets les plus en vogue.
un aperçu de l'avenir
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Même si tout le monde n'est pas immédiatement familier avec cette technologie, c'est un sujet qui retient l'attention de nombreuses grandes entreprises du secteur des technologies de l'information. Et lorsque des entreprises comme Apple et Meta s'y intéressent, nous savons que nous avons affaire à une technologie au potentiel énorme. Inventé par le chercheur du MIT Simon Greenwold en 2003, il l'avait défini comme : « L’interaction humaine avec une machine dans laquelle la machine conserve et manipule des références a des objets et des espaces réels. » Il est désormais généralement utilisé comme synonyme de réalité virtuelle ou augmentée, qui, bien que largement reconnues, ne décrivent pas vraiment toute la richesse de cette technologie. Historiquement, l'informatique spatiale a été principalement considérée comme un moyen d'attirer les joueurs et pour une utilisation dans le domaine du divertissement. La Réalité Virtuelle (VR), la Réalité Augmentée (AR) et la réalité mixte (MR) étaient considérées comme des technologies de niche.
Cette situation est sur le point de changer. L'organisme de recherche Markets and Markets prévoit que l'informatique spatiale mondiale est sur le point de tripler en cinq ans, passant de 99 milliards de dollars à 280,5 milliards de dollars d'ici 2028. Selon une étude d'Omdia, neuf entreprises sur dix sont convaincues de l’intérêt de l'informatique spatiale au sein de leurs propres organisations, mais seulement 20 % d’entre elles ont déjà réalisé les investissements nécessaire. Alors, pourquoi ce décalage ? Selon Camille Mendler, auteur du rapport, ce n'est pas à cause de la réticence des employés à enfiler leur casque VR ou à cause du coût de l'équipement, mais parce qu'il y a un manque de volonté de la part de la direction d'investir dans la technologie. Comme pour toutes les innovations, des investissements sont nécessaires pour identifier correctement les cas d'utilisation, l’état de préparation des plateformes pour l'intégration et même le développement d'applications sur mesure. Cependant, en ce qui concerne l'informatique spatiale, le coût de cette innovation est souvent directement lié à l'amélioration mesurable des processus métier et les bénéfices peuvent être substantiels pour les bons cas d'utilisation.
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CONTENTS
AI Evolution
Security of AI
Hybrid Cloud
Software Rationalisation
Private 5G
Spatial Computing
Welcome
Business Insight
L'élément éducatif est peut-être la clé de l'adoption. L'informatique spatiale est une nouvelle approche que les entreprises ont souvent du mal à trouver utile. Pourtant les signes sont là, tout porte à croire qu’il s’agit d’une technologie passionnante dont l'heure est venue. La question est : comment en faire une réalité ? Il existe certainement de nombreux domaines dans lesquels l'informatique spatiale pourrait être déployée efficacement. Nous avons déjà mentionné le gaming, mais il y a d'autres secteurs industriels où cette technologie pourrait s’imposer. L'informatique spatiale a de nombreuses applications dans le domaine de la santé : pour la formation des médecins ou pour un diagnostic à distance. Il y a aussi eu plusieurs exemples de son utilisation dans des contextes thérapeutiques avec des patients en santé mentale. Le commerce de détail intègre déjà l'informatique spatiale ; les clients peuvent devenir
Le commerce de détail intègre déjà l'informatique spatiale ; les clients peuvent devenir des acheteurs virtuels et examiner différents styles de vêtements à distance
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des acheteurs virtuels et examiner différents styles de vêtements à distance, et l'informatique spatiale peut également être utilisée dans le secteur manufacturier. Il pourrait servir d'outil de formation, mais aussi aider les processus, par exemple, en surveillant des appareils à distance en temps réel. C'est un domaine où les jumeaux numériques peuvent jouer un rôle. Ce concept, qui consiste à introduire des répliques numériques de produits afin que les entreprises puissent simuler leurs équivalents physiques, est appelé à se généraliser. L'introduction de cette technologie se traduira par des méthodes de travail moins coûteuses et plus rapides dans un cadre industriel. Selon une enquête de Global Markets and Markets, 75 % des cadres ont déclaré que la poursuite de la numérisation de ce type constituerait un élément majeur du développement de nouveaux produits. Nous n’en sommes qu’aux premiers stades de la réalisation des possibilités offertes par cette technologie, mais il ne fait aucun doute qu’elle sera utilisée de manière innovante, en particulier lorsqu'elle est combinée avec l'IA et liée au nombre croissant d'appareils IoT.
Nous assistons à une accélération de l’innovation dans ce domaine, de la part des fournisseurs de matériel et de logiciels, il y a beaucoup de croisement avec l'IoT, l'IA, les mégadonnées et la robotique qui, une fois combinés, deviennent plus que la somme de leurs parties. La qualité et l'immersion de la VR augmentent et nous la voyons utilisée pour la formation militaire, dans les showrooms automobiles et dans des environnements d'apprentissage immersifs pour toutes sortes de choses. Nous avons vu des chirurgiens pratiquer des opérations très délicates en VR avec des robots à retour haptique en 3D qui augmentent l'immersion et la rétention de l’apprentissage en faisant appel à d’autres sens. La réalité augmentée progresse également à mesure que le matériel ajoute un traitement plus rapide pour gérer la cartographie 3D en temps réel des espaces et des objets, nous sommes entrés dans une ère de réalité augmentée par l'IA. Les personnes souffrant de déficience visuelle peuvent être aidées par des lunettes légères qui scannent et identifient en permanence les objets qui se trouvent devant elles et leur permettent de poser des questions en langage courant pour mieux comprendre ce qu'elles "voient" devant elles.
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Les entreprises continuent d'adopter et d'innover dans ce domaine. Il ne s’agit pas seulement des casques VR non plus. Les fournisseurs étudient différentes approches d'entrée et d'interaction, que ce soit par le suivi oculaire, de l’haptique au poignet ou les commandes vocales assistées par l'IA. Il y aura des problèmes à résoudre. Comme pour l'IA, la manière dont la technologie est appliquée et son utilisation en toute sécurité susciteront des inquiétudes. Jusqu’à présent, les pouvoirs publics n’ont pas prévu de réglementer l'informatique spatiale, mais cela pourrait changer. Des efforts notables sont déployés pour rendre les casques moins intrusifs et plus confortables. De plus, le coût reste un défi. Ces appareils ne sont pas bon marché, mais on s'attend à ce que les prix diminuent au fur et à mesure que l'utilisation augmentera. En fin de compte, les chefs d'entreprise devront réfléchir à la manière dont l'informatique spatiale peut être déployée confortablement au sein de leur organisation. L’heure est à l’informatique spatiale - la question est de savoir si les entreprises sont capables et disposées à en tirer le meilleur parti.
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Depuis plus de dix ans, il accompagne ses clients dans leur transformation digitale et leur stratégie technologique afin d'améliorer l'expérience des collaborateurs, d'accélérer la valeur de l'entreprise et d'améliorer les processus métier. Workplace & Collaboration La pratique Workplace & Collaboration vise à aider les organisations à se développer et à améliorer les expériences des utilisateurs finaux en aidant à concevoir, mettre en œuvre et transformer la technologie dans les domaines de la productivité, de la collaboration, de la mobilité et de la gestion de l'ordinateur de l'utilisateur final.
Anthony TaylorTechnology Lead
En fusionnant la réalité augmentée (RA), la réalité virtuelle (RV) et la réalité mixte (RM), l'informatique spatiale est en train de remodeler les paradigmes opérationnels. Pour tirer parti de cette technologie transformatrice, les organisations peuvent adopter les pratiques clés suivantes : 1. Investir dans la technologie, les processus et les personnes : aligner la technologie sur les processus et les personnes afin d'optimiser l'utilisation de la technologie et d'améliorer l'expérience utilisateur. 2. Promouvoir l'innovation : cultiver un environnement propice à l'innovation en soutenant l'exploration de nouveaux concepts d'informatique spatiale par le biais de formations et d'ateliers. 3. Personnaliser les applications : développer des applications d’informatiques spatiales personnalisées en collaboration avec des développeurs expérimentés afin de répondre efficacement aux besoins spécifiques des entreprises.
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4. Intégrer les systèmes existants : assurer une compatibilité transparente des solutions de calcul spatial avec l'infrastructure informatique actuelle afin de faciliter l'échange efficace de données. 5. Se concentrer sur l'expérience utilisateur : donner la priorité à la conception d'interfaces intuitives et au retour d'information des utilisateurs pour une amélioration continue, afin de garantir l'efficacité et la simplicité des applications. Insight est prêt à aider les organisations à tirer parti du potentiel de transformation de l'informatique spatiale pour stimuler l'innovation et l'efficacité opérationnelle.
Virtual reality for wellbeing: Apax helps to lead the way with Insight
Department for Transport En Route to an Immersive Future
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L'essor de la connectivité 5G privée
L'essor de l'Internet des objets (IoT) semble presque inarrêtable.
Selon IoT Analytics*, il y aura 18,8 milliards d'appareils connectés d'ici la fin de 2024. Mais la croissance ne s’arrête pas là. Des recherches de Exploding Topics* prévoient que le nombre d'appareils IoT augmentera de manière astronomique pour atteindre près de 30 milliards d'ici 2030. La raison en est simple : le besoin de données précises et, dans de nombreux cas, de données en temps réel. Cela pourrait concerner n'importe quoi : dispositifs de sécurité, étiquettes RFID pour le contrôle des stocks, informations sur les performances des pièces mobiles, capteurs météorologiques. D'une part, cela a donné lieu à diverses plaisanteries sur les réfrigérateurs intelligents qui vous avertissent que vous êtes sur le point de manquer de lait, mais, plus sérieusement, cela a permis d'améliorer l'efficacité opérationnelle, car les entreprises disposant d'une vaste gamme d'appareils à distance peuvent désormais surveiller leur état en permanence.
Toutes ces données peuvent être combinées avec les ressources informatiques plus grandes disponibles actuellement et, lorsqu'elles sont intégrées à des logiciels d'IA, les entreprises disposent d'un vaste arsenal d'informations. Le débat s'est ouvert sur la manière dont ces appareils sont connectés, et plusieurs choix s’offrent à nous. Actuellement, la connectivité Wi-Fi6 devient disponible et elle sera de plus en plus utilisée dans les années à venir. Une autre technologie de réseau largement utilisée est LoRaWAN, qui signifie « low-power wide-area network » (réseau étendu de faible puissance). Il s’agit d’une technologie similaire au Wi-Fi sur une longue distance, elle permet une communication à longue portée entre les dispositifs IoT et les stations de base, elle est extrêmement utile pour la collecte de données industrielles en situation de faible puissance. C'est une technologie qui offre un arc de connectivité plus large car elle peut gérer la connectivité à une distance allant
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jusqu'à 15 km, bien qu'elle n'offre pas une bande passante particulièrement élevée. La technologie cellulaire est également largement utilisée. Là encore, nous nous habituons à des vitesses plus élevées. Ces dernières années, on est passé de la 4G à la 5G, souvent en raison de l'obsolescence des services 2G et 3G, ce qui signifie qu'un grand nombre d'anciens appareils IoT doivent maintenant être remplacés. Cependant, les organisations cherchent à faire plus avec la 5G. Nous constatons aujourd'hui une volonté croissante de l'utiliser comme technologie de connectivité dans des situations industrielles et commerciales. Alors que la 5G a été largement associée à la technologie des téléphones portables, les organisations peuvent bénéficier de l'utilisation de la connectivité 5G privée - l'utilisation de la même technologie mais limitée à une seule organisation.
Nous constatons aujourd'hui une volonté croissante de l'utiliser comme technologie de connectivité dans des situations industrielles et commerciales.
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Il y a de nombreux avantages à utiliser la 5G privée ; elle offre des vitesses considérablement plus élevées et une performance plus fiable. Ce qui est particulièrement significatif, cependant, c'est l'amélioration de la sécurité offerte par une configuration 5G privée, un facteur vital lorsqu'il s'agit de propriété intellectuelle et de données clients. Il convient de souligner que la 5G privée n'est pas intrinsèquement plus sûre, elle permet simplement aux entreprises de définir leurs propres contrôles. Cette plus grande personnalisation de la 5G est un atout majeur pour les organisations. Par exemple, elle permettra une plus grande évolutivité en cas de modèles de trafic inhabituels, tels que des facteurs saisonniers. Elle peut permettre des configurations liées à un secteur particulier, par exemple, il peut y avoir un besoin de plus grande sécurité dans certains secteurs verticaux, tels que les organisations de santé qui doivent traiter des dossiers médicaux sensibles ou le secteur de la défense, qui a un besoin évident de protection accrue. Si la voie de la 5G privée présente des avantages considérables, elle n'est pas sans poser quelques problèmes.
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La consommation d'énergie est relativement élevée et son fonctionnement est plus coûteux que celui de la 5G classique. Cependant, la 5G privée consomme moins d'énergie que le WiFi et le fait de ne pas utiliser plusieurs radios sur un seul appareil permet une économie d'énergie inhérente. En matière de technologie sans fil, l'attribution de la bande passante peut poser des problèmes car le spectre peut être rationné. Ce n'est toutefois pas nécessairement le cas pour la 5G privée. Les autorités chargées de l'octroi des licences ont déjà attribué des portions de spectre spécifiquement pour l'utilisation sans licence de solutions 5G privées. Mais ce n'est que la moitié de l'histoire. Même lorsque le spectre a été sécurisé, il est nécessaire de l’entretenir et, historiquement, cela a nécessité des compétences spécialisées. Cependant, Vodafone a déjà fait la démonstration d'une station de base de moins de 1 000 dollars qui peut être surveillée à l'aide d'un Raspberry Pi, de sorte que les entreprises sont déjà équipées pour faciliter la gestion de la 5G privée.
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Malgré la nécessité de ces considérations, toute entreprise qui suit la voie de la 5G privée bénéficiera de nombreux avantages lorsqu'il s'agira d'anticiper l'avenir de l'infrastructure. En plus de la bande passante plus élevée, de la sécurité renforcée et de la personnalisation mentionnées précédemment, il y aura également un réseau plus robuste ; un réseau qui offrira une disponibilité de service beaucoup plus grande, et surtout qui sera disponible dans les zones urbaines et éloignées, où le cellulaire public n’est pas forcément disponible. À l'avenir, cela pourrait signifier que les entreprises seront en mesure d’acheter des biens immobiliers moins chers dans des zones non raccordées au réseau et les connecter à la 5G privée couplée à la technologie satellite, afin de disposer d’une propriété commerciale pleinement fonctionnelle à une fraction du coût de la pose de kilomètres de câbles sous ou au-dessus du sol. Cela profiterait à des industries telles que l'exploitation minière et l'agriculture, qui opèrent souvent dans des
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endroits où l'infrastructure de communication est médiocre et où la capacité de poser des câbles est limitée. La 5G privée permet alors aux capteurs IOT qui peuvent être alimentés par des machines locales, ou même par l'énergie solaire, de collecter des données opérationnelles qui deviennent inestimables pour transformer toute l'opération. Lorsqu'elle est couplée à des systèmes basés sur le cloud, la possibilité d'une plus grande automatisation robotique devient une réalité ! Un autre exemple serait celui des bateaux de croisière et les festivals où des e-Sims pourraient être proposés pour fournir une connectivité aux invités et aux capteurs IoT sans avoir à déployer des centaines de points d'accès sans fil. Ce n'est qu'un pas en avant pour la 5G privée. C'est une technologie qui présente de nombreux avantages intégrés qui, grâce à son approche de personnalisation et de sécurité, offre une manière plus flexible de gérer les données.
Le point de vue du CTO
Cela est important pour les organisations. Nous constatons aujourd’hui que de nombreuses entreprises se penchent sur la manière dont elles collectent, stockent et utilisent les données. C'est un élément vital pour de nombreuses entreprises, et les moyens de transférer ces données seront examinés de près. La 5G privée va offrir une méthode flexible pour traiter les données plus efficacement et c’est sans aucun doute une technologie d'avenir.
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Alors que les entreprises envisagent l'adoption de réseaux privés 5G, voici cinq mesures à prendre en considération : 1. Effectuer une analyse des besoins : commencez par évaluer les performances actuelles du réseau, identifiez les points problématiques et prévoyez les besoins futurs afin d'adapter le déploiement de la 5G privée aux besoins de l'organisation. 2. Investir dans l'infrastructure : allouez des ressources pour acquérir des équipements 5G, des technologies informatiques de pointe et des appareils IoT, afin d'assurer une compatibilité transparente et un déploiement évolutif. 3. Favoriser la collaboration entre les technologies de l'information et les technologies opérationnelles : faciliter la collaboration entre les technologies de l'information (IT) et les technologies opérationnelles (OT) pour permettre une intégration harmonieuse et optimiser les performances du réseau.
4. Donner la priorité à la sécurité : mettre en œuvre des protocoles de sécurité robustes, mettre régulièrement à jour les systèmes et former les employés à la cybersécurité afin de protéger les données sensibles et de garantir l'intégrité du réseau. 5. S'associer à des fournisseurs expérimentés : sélectionnez des fournisseurs réputés ayant une expertise dans le déploiement et la gestion de la 5G privée afin de tirer parti de leurs connaissances et de leurs technologies pour une mise en œuvre réussie. En suivant ces stratégies, les organisations peuvent exploiter pleinement le potentiel des réseaux privés 5G et améliorer l'efficacité opérationnelle dans un paysage numérique en constante évolution.
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La rationalisation des applications : pour des investissements plus intelligents
De nos jours, il existe d'innombrables applications disponibles pour nos smartphones.
Il semble y avoir une application pour presque tout, que ce soit pour suivre sa condition physique, gérer ses finances, apprendre des langues ou commander des courses. Nous téléchargeons souvent ces applications, et chacune d’entre elles apporte de la valeur à sa manière, même si nous ne les utilisons pas toujours toutes. Ce modèle de consommation d’applications a fait son chemin dans l’entreprise. Désormais, les équipes peuvent facilement rechercher, tester, acheter et utiliser des applications sans l’intervention des services informatiques. La simplicité des applications SaaS—ne nécessitant aucune installation et qui sont accessibles à tous les acheteurs—permet aux équipes de sélectionner des outils qui correspondent à leurs flux de travail et à leurs objectifs. Cette facilité d'accès a entraîné une augmentation de ce qu'on appelle « shadow IT ». Les applications sont adoptées à l’insu et sans la supervision des services informatiques. Bien que chaque application puisse répondre à un besoin organisationnel spécifique, cette approche décentralisée a conduit à une prolifération excessive des applications, qui peut peser sur les ressources et les budgets informatiques.
Il ne s’agit pas d’un problème insignifiant : une enquête de Salesforce estime que le nombre total de logiciels (cloud et on-prem) est passé de 843 à 1061 en deux ans. De plus, l’étude Insight suggère que les entreprises gaspilleraient environ 30% de leur budget sur des logiciels non désirés ou inutiles. Gérer un grand nombre d’applications représente un défi important pour les services informatiques. Chaque application nécessite une licence, des mesures de sécurité, une intégration avec les systèmes actuels et des mises à jour régulières. Cela ajoute de la complexité et des coûts à l'organisation. De plus, certaines applications SaaS peuvent être sous-utilisées, ce qui augmente encore les dépenses. En raison de cette complexité croissante, la rationalisation des applications est devenue un sujet clé dans les discussions IT. La croissance incontrôlée du portefeuille d'applications n'est pas durable. Les organisations cherchent de plus en plus à rationaliser leurs portefeuilles d’applications pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la rentabilité est cruciale ; à mesure que les applications s'accumulent, les droits de licence, les coûts de
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maintenance et les frais de gestion augmentent souvent pour des outils peu utilisés. Deuxièmement, la rationalisation des applications améliore la sécurité et la conformité aux réglementations. Chaque nouvelle application introduite dans l'environnement de l'entreprise augmente le potentiel de risques de sécurité et de violations de données, surtout lorsqu'elle est adoptée sans supervision informatique. Enfin, la rationalisation des applications améliore l'efficacité opérationnelle. Un catalogue de logiciels simplifié est plus facile à maintenir et permet aux services informatiques de concentrer leurs efforts sur l'innovation plutôt que sur la gestion d’un ensemble complexe d'applications. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les organisations font de leur mieux pour réduire le nombre d'applications dans leur paysage informatique. Premièrement, l'environnement économique oblige les entreprises à économiser rapidement sur les coûts.
Chaque nouvelle application introduite dans l'environnement de l'entreprise augmente le potentiel de risques de sécurité et de violations de données
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Deuxièmement, les entreprises doivent prioriser leurs efforts d'investissement dans la transformation digitale sur des outils soutenant leurs objectifs commerciaux. Enfin, la réduction du nombre d'applications et du nombre d'abonnements permet de réduire le gaspillage numérique, contribuant ainsi aux objectifs de durabilité à long terme (les applications SaaS fonctionnent dans des centres de données qui consomment de l’énergie et de l’eau). Les objectifs doivent être formalisés avant de lancer une initiative de rationalisation des applications. Par exemple, la priorité est-elle de réduire les coûts, d'augmenter l'efficacité opérationnelle, d'améliorer la sécurité ou d'aligner la technologie sur les résultats de l’entreprise ? Connaître l'objectif principal aidera à orienter les décisions tout au long du processus. Le périmètre doit également être défini pour s'assurer que l'approche soit gérable et ciblée. Par exemple, quelles unités opérationnelles, quels types d’applications ou quelles régions seront incluses ou exclues ? Une fois les objectifs et le périmètre définis, l'étape suivante consiste à découvrir et à créer un inventaire de toutes les
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applications utilisées. L'inventaire doit catégoriser les applications et inclure des informations essentielles telles que la fréquence d'utilisation et le coût des licences par application. La liste des applications découvertes peut être longue. Nous proposons une approche itérative basée sur des hypothèses pour prioriser les efforts de recherche. Par exemple, lors d’un premier sprint, si l'objectif principal était de réduire le nombre d'applications ayant la même fonctionnalité, les efforts devraient être concentrés sur l’examen de certaines des catégories les plus prolifiques (par exemple, les outils BI). Mais si la sécurité des données était la principale préoccupation, les efforts devraient être concentrés sur l'examen des applications qui pourraient présenter le plus grand risque pour la sécurité de nos données, telles que le stockage cloud, les traducteurs ou les applications GenAI. L’étape suivante consiste à évaluer la valeur des applications sélectionnées. Cette valeur sera déterminée par plusieurs facteurs, notamment l’alignement fonctionnel, la compatibilité technique, la satisfaction des utilisateurs, les considérations de coût, les risques de sécurité et le niveau
de support du fournisseur, etc. Il est important de recueillir l’avis des parties prenantes, y compris les propriétaires de produits, les utilisateurs finaux, la sécurité informatique ou l’architecture d’entreprise, entre autres. À ce stade, les redondances entre les applications ayant la même fonction commenceront à apparaître. A l’issue de l’évaluation des applications, des décisions seront prises concernant celles à conserver, à consolider, à remplacer ou à retirer. Ces actions doivent être incluses dans un plan d'action. Ce plan peut également inclure des actions pour la consolidation des fournisseurs, la co-réalisation des dates d'expiration des licences ou des contrats, et l'optimisation des licences (par exemple, la réduction des abonnements, la réduction des quantités, etc.). Une fois les décisions prises, il est temps de les exécuter. Ce processus implique de gérer les changements efficacement et d'aider les utilisateurs à adopter de nouvelles technologies. Il est donc fortement recommandé de planifier et de gérer ces changements.
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Enfin, pour garantir la durabilité de ces efforts, nous suggérons de mettre en place un système de gouvernance et de suivi continu. En mettant en œuvre des politiques pour l'acquisition de nouveaux logiciels et en exigeant une supervision informatique, les organisations peuvent prévenir la prolifération des applications et s'assurer que leurs environnements s'alignent sur les objectifs stratégiques. Cette approche ne restreint pas les
entreprises dans le choix de leurs applications ; elle fournit plutôt le support nécessaire pendant le processus d'acquisition de nouveaux logiciels. Alors que la transformation digitale et les défis économiques se poursuivent, la rationalisation des applications est indispensable pour les organisations souhaitant optimiser leurs portefeuilles d'applications. Une compréhension claire des objectifs commerciaux et informatiques, combinée à une approche structurée de l'inventaire, de l'évaluation et de la mise en œuvre des changements, peut aider à créer un environnement informatique plus léger et plus efficace, en alignement étroit avec la stratégie d'entreprise. Un portefeuille d'applications simplifié et utile permet non seulement de réaliser des économies , mais aussi d’aider les organisations à suivre l'innovation et à rester compétitives.
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Rene Sans Senior Manager Software Lifecycle Services
Professionnel de la gestion des actifs informatiques avec plus de 12 ans d'expérience, il dirige le service ITAM spécialisé dans les projets de mise en œuvre et de transformation, ainsi que dans les services managés qui aident les clients internationaux à optimiser les coûts technologiques, à réduire les risques et à améliorer les opérations de gestion des technologies. Technology Lifecycle Services Nous aidons nos clients à rentabiliser leurs investissements technologiques actuels et futurs. Nos services s'étendent de l'approvisionnement au renouvellement. Nous réalisons des évaluations et des projets d'optimisation, nous fournissons des outils et nous gérons des processus afin de clarifier les choses, de réduire les coûts, d'atténuer les risques et de permettre une meilleure prise de décision dans les domaines de l'approvisionnement, de la gestion des actifs informatiques et logiciels et des négociations commerciales.
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Pour naviguer efficacement dans le processus de rationalisation des logiciels, les organisations peuvent mettre en œuvre les étapes suivantes : 1. Identifier les objectifs de l'entreprise : commencer par définir les objectifs prioritaires de l'entreprise, tels que la réduction des coûts, l'amélioration de l'efficacité opérationnelle, le renforcement de la sécurité ou l'alignement de la technologie sur les résultats de l'entreprise. 2. Définir les objectifs du SaaS : déterminer la portée des objectifs du SaaS (Software as a Service), en tenant compte de facteurs tels que les unités commerciales, les régions ou les types d'applications. 3. Identifier l'approvisionnement et l'utilisation : mener une analyse approfondie pour identifier les logiciels achetés et utilisés dans le cadre défini. 4. Évaluer la valeur des applications : évaluer la valeur des applications sur la base de facteurs tels que l'alignement fonctionnel, la compatibilité technique, la satisfaction des utilisateurs, la rentabilité, les risques de sécurité ou la disponibilité du service.
5. Créer des plans d'action : élaborer des stratégies exploitables telles que le maintien, la consolidation, le remplacement ou le retrait des applications logicielles en fonction des résultats de l'évaluation. 6. Mettre en place une gouvernance et un suivi : mettre en place un système solide de gouvernance et de contrôle continu pour garantir l'alignement permanent sur les objectifs de l'entreprise et une gestion efficace des logiciels. Notre service SaaS Insights offre une approche rapide et perspicace pour affiner votre stratégie de gestion SaaS et prendre des décisions éclairées sur les objectifs clés. En analysant les données de consommation SaaS à partir d'un échantillon représentatif d'appareils d'utilisateurs finaux, nous fournissons des informations précieuses pour soutenir les discussions stratégiques et faciliter une prise de décision rapide. Avec des délais d'exécution rapides, nos services, y compris l’identification, les projets d'optimisation des fournisseurs et les services managés continus, répondent à vos besoins spécifiques de manière efficace et efficiente.
Has FinOps forgotten SaaS?
Why modern organisations should be viewing FinOps and IT Asset Management through the same lens
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Comment le déploiement hybride sera l'avenir du cloud
Le cloud hybride est désormais la nouvelle norme.
Une des évolutions les plus significatives de ces dernières années a été la manière dont les fournisseurs IT traditionnels se sont tournés vers le cloud pour rafraîchir leurs portefeuilles de produits. Le cloud hybride est désormais la nouvelle norme. Un mélange de cloud public et privé mais également le positionnement des bonnes charges de travail au bon endroit. Les fournisseurs IT établis – HPE, Dell, Lenovo – ont d’abord eu une relation difficile avec le cloud. Certains l'ont considéré comme un phénomène de mode ou de “vaporware”, comme l'a dit Larry Ellison, PDG d'Oracle. D'autres ont vu le potentiel mais n'ont pas voulu renoncer à leur emprise sur le marché, d'où l'émergence de ce que l'on appelle le « cloud privé ». Tout cela a changé en un peu plus de dix ans. Alors que les fournisseurs de cloud public sont toujours très actifs, les entreprises traditionnelles ont riposté en adaptant leurs solutions on-prem pour qu'elles ressemblent davantage au cloud et qu'elles soient plus souples à utiliser.
Ce changement d'approche de la part des fournisseurs est principalement motivé par une impulsion technologique : le déploiement croissant de l'IA. C'est un développement qui nécessite le cloud hybride pour fonctionner correctement. Il a besoin d’une capacité flexible pour gérer la puissance de calcul et de GPU nécessaire pour des calculs massifs d'IA tout en veillant à ce qu'il n'y ait pas de problèmes de latence et que la propriété intellectuelle soit conservée chez le client. HPE et Dell disposent tous deux de solutions d'architecture de référence pour les environnements d'IA privés et les clients peuvent faire évoluer ces environnements hybrides pour les cas d'utilisation de l'IA qu'ils doivent exécuter en production avec une faible latence, de manière sécurisée et gouvernée, tout en se connectant à leurs données d'entreprise et à leur propriété intellectuelle de manière sécurisée. Ce que nous voyons de plus en plus, ce sont des clients qui utilisent le cloud public pour des preuves de concept d’un nouveau projet. Exemple : pour avoir une idée de la façon
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dont il fonctionnera afin de vérifier les difficultés éventuelles, mais ils choisissent ensuite souvent d'exécuter des applications d'entreprise dans une configuration hybride. Ils cherchent également de plus en plus à créer des applications pouvant être conçues pour être conteneurisées afin de fonctionner avec des fournisseurs multi-cloud pour assurer la portabilité et éviter l’enfermement mais également pour avoir la capacité de choisir l’emplacement d’une application en fonction des performances, de la sécurité, de la gouvernance, des fonctionnalités/services techniques et des coûts. Les sites de vente au détail en sont un bon exemple. Un grand client de restauration rapide utilise le Cloud Hybrid dans chacun de ses points de vente. Qu’il s’agisse de l'application gérant les kiosques de commande de nourriture ou des applications et contenus nécessaires pour les écrans d'affichage numérique montrant les choix de menu, chacun de ces dispositifs est un
Ce qui a émergé, c'est une nouvelle génération de produits « as-a-service » qui a changé le visage du cloud hybride
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appareil IoT et exécute une charge de travail d'application spécifique. Ces applications doivent être rapides, hautement disponibles et avoir un faible temps de latence pour les transactions de kiosques et une large bande passante pour l'affichage des choix de menu. Chaque point de vente dispose d’un petit cluster hyperconvergé installé pour exécuter ces charges de travail applicatives. Ils doivent également être gérés et être à l'épreuve du temps pour permettre le déploiement de services de données et d'IA dans le magasin pour les informations de gestion et l'expérience client. Imaginez le défi que représente la gestion de milliers de ces plateformes dans les points de vente. La gestion opérationnelle est cruciale, elle doit être intégrée au cloud et disposer d’une gestion des opérations de l’IA et du cycle de vie intégrée. Ce cas d'utilisation ne pourrait pas être livré uniquement avec le cloud public, ce sont des solutions hybrides qui débloquent et alimentent l'expérience client. Et c'est là que les fournisseurs d'infrastructure traditionnels entrent en jeu en adaptant et en construisant des modèles en tant que service pour les solutions on-prem. Ils ont intégré
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plusieurs éléments de la technologie cloud - la flexibilité/agilité du cloud pour l'approvisionnement et la facturation, permettant une expansion on-prem rapide et facile, émulant l'expérience type cloud pour l'on-prem. Il est devenu évident que ce n'étaient pas les fournisseurs de cloud eux-mêmes qui étaient attrayants pour les utilisateurs, mais ce qu'ils offraient : l'auto-sélection, la mise à disposition rapide et, bien sûr, la possibilité de payer pour ce qui était utilisé. Ce qui a émergé, c'est une nouvelle génération de produits « as-a-service » qui a changé le visage du cloud hybride. Les fournisseurs ont réuni tous les aspects d'une infrastructure informatique moderne et se les sont appropriés. Cela a un effet transformateur sur la façon dont l'informatique d'entreprise est déployée. Historiquement, un client achetait ses serveurs auprès d’une entreprise, son stockage à une autre et son équipement réseau à une autre, mais aujourd’hui, tout a changé. Les entreprises ont la possibilité d'acheter tout cela
au sein d'une seule organisation, avec une architecture de référence préétablie pour fonctionner ensemble. Les GreenLake de HPE et Apex de Dell sont des architectures de référence en ingénierie qui simplifient la conception et le déploiement de solutions on-prem. Ces offres simplifient les solutions hybride on-prem : les charges de travail telles que les machines virtuelles, les applications conteneurisées, le stockage, le poste de travail moderne, les bases de données, les données et l'IA peuvent désormais être gérées par un seul fournisseur, tout en conservant les avantages du cloud. Ce qui unit tous ces produits, c'est l’acceptation du fait que l'hybride est la nouvelle norme, avec une répartition équitable entre les besoins de cloud public et privé, les clients ont besoin d'une plateforme qui permet de déployer les charges de travail au bon endroit et d'être gérée par une plateforme d'orchestration : un exemple de ceci est Microsoft Azure Stack HCI. Cela permet le déploiement hybride des ressources Azure on-prem et à la périphérie pour les clients.
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HPE affirme avoir ajouté 3 000 nouveaux clients GreenLake au cours de l'année écoulée. C'est une augmentation vertigineuse qui reflète l'intérêt pour ce type de mise en œuvre hybride. Selon IDC, 65 % des entreprises reconnaissent la nécessité de simplifier l'infrastructure cloud afin d'améliorer la résilience et de réduire les coûts d'exploitation, les produits tels que HPE GreenLake et Dell Apex ouvrent la voie. Il s’agit d’un changement radical par rapport à la façon dont les services cloud étaient proposés auparavant et cela façonnera les infrastructures d'entreprise pour les années à venir.
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Architecte d'entreprise et stratégiste avec plus de 30 ans d'expérience dans les solutions complexes cloud et hybrides on-prem, la transformation informatique et les services managés. Cloud & On-Prem Une infrastructure moderne basée sur le calcul et le stockage est essentielle pour soutenir le succès des applications et des données de nos clients. La pratique Cloud & on-prem se concentre sur la possibilité pour nos clients d'évoluer vers les meilleures plateformes Cloud modernes et multi-hybrides pour leurs besoins en matière d'applications et de données. Elle permet également à nos clients de faire évoluer en permanence ces plateformes afin d'optimiser l'innovation, les performances, la disponibilité, les coûts et les flux de trésorerie.
Lee WilkinsonTechnology Lead
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Pour les organisations qui souhaitent adopter des solutions de Cloud hybride, le point de départ peut consister à mettre en œuvre les étapes stratégiques suivantes : 1. Élaborer une stratégie Cloud : élaborer une stratégie complète qui définit les objectifs, les attentes et les critères de réussite pour le déploiement du Cloud hybride. Cette stratégie doit comprendre une évaluation du paysage informatique actuel et une feuille de route bien définie pour la mise en œuvre. 2. Garantir la sécurité et la conformité : donner la priorité à des mesures de sécurité solides et au respect de la conformité pour protéger les données. Mettez en œuvre le cryptage, les contrôles d'accès et les audits réguliers tout en assurant une surveillance continue pour garantir la conformité réglementaire.
3. Optimiser le placement de la charge de travail : évaluer les charges de travail pour déterminer l'environnement le plus approprié (Cloud public, Cloud privé ou sur site) en fonction de facteurs tels que la performance, le coût ou la sécurité. Cette approche stratégique améliore l'efficacité opérationnelle et la rentabilité. 4. Favoriser la communication : promouvoir une communication ouverte et une collaboration entre les équipes informatiques et les autres départements pour relever les défis, partager les meilleures pratiques et aligner la stratégie de Cloud hybride sur les objectifs globaux de l'entreprise. 5. Tirer parti de l'automatisation : exploiter la puissance des outils d'automatisation et des plateformes d'orchestration pour rationaliser les processus, la gestion des ressources et l'optimisation des performances. En réduisant les erreurs humaines et en améliorant l'efficacité, l'automatisation joue un rôle essentiel dans la réussite du déploiement du Cloud hybride.
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Révolution de l'IA : Naviguer à la croisée des chemins en matière de sécurité
L'IA est actuellement à la pointe de l'innovation technologique, captivant tout le monde avec son potentiel sans précédent.
Avec presque chaque entreprise technologique présentant ses solutions ou intégrations IA, cette vague d'activité promet de révolutionner le paysage économique. Selon McKinsey, 65 % des organisations utilisent maintenant régulièrement l'IA générative, un chiffre qui a presque doublé en un an. La majorité de ces organisations prévoient des transformations significatives dans leurs industries grâce à l'IA. L'avenir semble prometteur : une efficacité accrue, des opérations rationalisées et des améliorations substantielles des résultats financiers. Cependant, au milieu de cet optimisme, plusieurs problèmes critiques émergent et méritent l'attention des responsables informatiques et des dirigeants d'entreprise du monde entier. Premièrement, la dimension éthique du déploiement de l'IA présente un défi significatif. Les décideurs politiques sont confrontés à la nécessité de favoriser l'innovation tout en minimisant les risques. Cette situation rappelle la "tragédie
des biens communs", où les actions individuelles épuisent les ressources partagées, nuisant finalement à tous. Dans le contexte de l'IA, la ressource partagée est la sécurité mondiale et le développement éthique. La course au développement de l'IA pour la supériorité économique, militaire et technologique conduit souvent les pays à contourner des garde-fous cruciaux, privilégiant la rapidité plutôt que la sécurité. Cette précipitation peut entraîner des conséquences négatives telles que l'utilisation abusive des données, l'inégalité, la perte d'emplois et les violations éthiques. De plus, cette course a conduit à des approches fragmentées, avec des pays et des États poursuivant leurs propres agendas pour des gains à court terme. Ce manque de coopération internationale sur la réglementation de l'IA pose une menace à long terme. Par exemple, le décret du président Trump sur l'IA et la loi de l'UE sur l'IA mettent en évidence les divergences qui existent. Alors que les États-Unis se concentrent sur l'investissement dans l'infrastructure de l'IA, l'UE adopte une approche plus prudente et s'efforce d'abord de mettre en œuvre des mesures solides de sécurité et de protection des données.
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La loi européenne sur l'IA, avec ses amendes potentielles allant jusqu'à 35 millions d'euros ou sept pour cent du chiffre d'affaires annuel mondial pour les violations, illustre cette approche rigoureuse. Les critiques, cependant, soutiennent que ces réglementations strictes pourraient créer des incertitudes juridiques et ralentir les progrès de l'IA en Europe. Une autre préoccupation urgente est que, bien que l'IA améliore l'efficacité des entreprises et permette de nouvelles innovations, elle permet simultanément aux cybercriminels de concevoir des menaces plus sophistiquées et nuisibles. L'IA a démocratisé le piratage, permettant aux attaquants sans compétences avancées de lancer des cyberattaques, les rendant plus difficiles à détecter. Le Département britannique pour la Science, l'Innovation et la Technologie a mené une étude approfondie au début de l'année 2024, identifiant plusieurs vulnérabilités dans de nombreuses entreprises :
Pour atténuer ces risques, les entreprises devraient prioriser les autorisations de données, s'assurant que les modèles d'IA fonctionnent dans des limites de données strictes.
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Modélisation des menaces insuffisante, empêchant l'identification de toutes les menaces potentielles. Mesures de protection des données personnelles insuffisantes, poussant certaines organisations à arrêter leurs initiatives d'IA. Authentification et autorisation non sécurisées, permettant l'usurpation d'identité des utilisateurs légitimes. Validation et assainissement des entrées insuffisants , permettant la manipulation des requêtes de base de données. Encodage des sorties inadéquat, exposant les pages web à des scripts malveillants. Chiffrement faible, risquant l'interception des données pendant la transmission.
Absence d'une architecture de sécurité robuste, permettant l'injection de code malveillant.
Ces vulnérabilités soulignent la nécessité pour les entreprises de mettre en œuvre des mesures de sécurité strictes lors du déploiement de l'IA générative. Pour atténuer ces risques, les entreprises devraient prioriser les autorisations de données, s'assurant que les modèles d'IA fonctionnent dans des limites de données strictes. De plus, les organisations devraient reconnaître leurs limites. Par exemple, déployer un chatbot utilisant des modèles existants pourrait involontairement suggérer des concurrents aux clients, une issue commercialement dangereuse. Les responsables de la sécurité des systèmes d'information (CISOs) peuvent se tourner vers des ressources comme le guide "OWASP Top 10 for LLM" de la Fondation OWASP. Ce guide met en évidence les attaques courantes liées à l'IA et fournit des stratégies de prévention et de remédiation. L'injection de prompt, la première attaque listée, est détaillée de manière approfondie, offrant des perspectives précieuses pour la défense.
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Le guide OWASP illustre la richesse de l'aide dont disposent les entreprises pour faire face à ce changement technologique. Un partenariat avec des experts tels qu'Insight peut renforcer la résilience de l'organisation, en s'appuyant sur leur vaste expérience des changements complexes et des défis en matière de sécurité. En conclusion, bien que le déploiement de l'IA promette des avantages considérables, il introduit également des défis de sécurité importants. En restant informées, en utilisant des ressources comme le guide OWASP et en reconnaissant leurs limites, les entreprises peuvent exploiter en toute sécurité le potentiel de l'IA et assurer leur succès futur.
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Près de 20 ans d'expérience dans le domaine de la cybersécurité à travers plusieurs rôles dans l'ingénierie, la conception, l'autorité de conception, l'avant-vente et la direction stratégique. Security & Compliance La pratique Security and Compliance rassemble les capacités combinées de la région EMEA d'Insight pour exceller en tant que partenaire de sécurité de bout en bout - en protégeant les opérations de nos clients et en sécurisant leur transformation digitale. Nous aidons nos clients à évaluer leur maturité actuelle grâce à l'utilisation d'évaluations, nous fournissons une feuille de route pour les aider à atteindre leurs ambitions Zero Trust et nous aidons à gérer et à maintenir la posture de sécurité avec nos services managés.
Rob O'Connor Technology Lead
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Guides
Pour aborder l'aspect critique de la sécurité de l'IA, les organisations peuvent entreprendre les actions stratégiques suivantes : 1. Évaluation : procéder à un examen complet des contrôles de sécurité existants et identifier les risques résiduels. Collaborer à l'élaboration d'une feuille de route hiérarchisée visant à atteindre le niveau de sécurité souhaité. 2. Planification et conception : traduire les défis de votre entreprise en projets de sécurité réalisables avec de l'aide. Recevoir des conseils sur la sélection des fournisseurs, des produits et des services appropriés. Participez à des ateliers de visualisation et à des sessions de conception technique pour aligner les initiatives de sécurité sur les objectifs de l'entreprise.
3. Construire et mettre en œuvre : concrétiser les plans de sécurité en passant de la conception à la mise en œuvre complète des contrôles de sécurité. Chaque projet est soigneusement étudié dans le contexte plus large de votre feuille de route en matière de sécurité. Confiez la gestion des contrôles de sécurité à vos équipes internes ou passez en toute transparence à nos services managés. 4. Gestion des opérations de sécurité : garantissez les performances optimales de vos contrôles de sécurité grâce à des services d'assistance permanents. Envisagez de recourir à des services managés où Insight assume la responsabilité de la gestion et de la maintenance de vos contrôles de sécurité.
Insight's Data-Centric Security Guide
Insight's Cyber Security Capabilities Overview
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L'évolution des modèles d'IA
En 2024, il est apparu clairement que la perception de l'IA au sein des organisations a changé.
En 2023, la plupart des discussions en étaient encore à un stade précoce, menées par des adeptes de la première heure et des enthousiastes. Aujourd'hui, nous commençons à assister à un véritable tournant qui s'appuie sur des évolutions fondamentales dans le domaine de l'IA. L'émergence d'un nouveau modèle d'IA open source, DeepSeek, par exemple, a mis en lumière le débat de longue date entre les systèmes open source et propriétaires, tout en remettant en question la norme relative à l'efficacité informatique de l'IA. Les entreprises ont désormais la possibilité de déployer l'IA à moindre coût en exécutant des modèles open source sur site ou en périphérie. Mais les développements récents ont également exacerbé l'importance de la sécurité, de l'approche et de la bonne gouvernance autour des systèmes open-source. Il existe cinq domaines principaux dans lesquels le paysage de l'IA est susceptible de changer :
Evolution dans la technologie de l'IA générative : Les récents progrès en intelligence artificielle et dans les modèles d'IA générative incluent des techniques d'apprentissage améliorées, des modèles plus performants et l'utilisation de matériel spécialisé. Orchestration de l'IA : combinaison de plusieurs modèles et techniques d'intelligence artificielle pour aborder des problèmes complexes, y compris des systèmes multi-agents où différents agents d'IA collaborent pour accomplir des tâches. Intégration avec la RPA (Robotic Processing Automation) : L'IA générative contribue au mouvement d'hyper automatisation en élargissant son champ d'application et ses capacités de prise de décision et d'action. Elle comprend le langage naturel écrit et parlé, interprète les résultats requis et déclenche des API pour agir. Capacités multimodales : l'IA intègre de plus en plus l'audio, la vidéo et d'autres modalités, ce qui permet à la technologie d'élargir ses applications et rend le traitement du langage naturel plus polyvalent.
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IA durable : bien que cela ne soit pas l'objectif principal, la durabilité de l'IA est une considération importante, notamment en termes de réduction des coûts et d'amélioration de l'efficacité. Certains de ces domaines seront intégrés : l'orchestration de l'IA sera compatible avec la RPA dans diverses situations, et la capacité multimodale fera partie de tous les types de mise en œuvre de l'IA. Évolution des modèles d'IA L'évolution des modèles entraîne une amélioration de la précision ou de la rapidité, selon l'application spécifique. Un LLM efficace peut égaler les performances d'un LLM à transformateur de pleine précision de même taille, tout en réduisant la latence, l'utilisation de la mémoire, le débit et la consommation d'énergie. Un autre changement significatif est l'adoption de matériel spécialisé conçu pour soutenir l'intelligence artificielle. En plus de l'évolution des
Un autre changement significatif est l'adoption de matériel spécialisé conçu pour soutenir l'intelligence artificielle.
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unités de traitement graphique (GPU), de nouveaux types de processeurs appelés unités de traitement du langage (LPU) ont également été développés. Ces processeurs sont spécifiquement conçus pour traiter les tâches complexes liées à la compréhension et à la génération du langage naturel. Orchestration de l'IA Un des changements majeurs de l’IA générative est le passage des chatbots basiques à des agents d'IA avancés, capables de réaliser des tâches plus complexes. Prenons l’exemple de la réservation d’un voyage d'affaires, je demanderais à mon assistant vocal de se coordonner avec mon agenda. Un autre agent s'occuperait de la documentation nécessaire. Pendant mon absence, un agent gérerait ma maison, éteignant automatiquement l'éclairage et le chauffage. Ces tâches nécessitent une capacité multimodale pour comprendre les mails, les appels téléphoniques, les images sur les sites web, etc. Ce processus a longtemps été complexe. Les systèmes basés sur des agents utilisent un principe nouveau, fondé sur de très
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grands ensembles de données non structurées, qui peut s'adapter à différents scénarios au lieu de suivre des réponses fixes à une série de prompts. En utilisant des agents, les utilisateurs peuvent diriger un flux de travail piloté par l'IA par le biais d'un traitement du langage naturel, plutôt que par le biais d'un code. Cela implique que, dans un avenir proche, nous serons susceptibles de recevoir et répondre à des appels téléphoniques générés par l'intelligence artificielle (et y réagir), illustrant ainsi une manière d'intégrer ces changements. Intégration de la RPA et de l'IA La RPA (Robotic Process Automation) est une technologie utilisée pour automatiser les processus métier simples. De nombreux secteurs utilisent déjà la RPA, c’est un marché qui se développe rapidement. Selon Statista, le marché de la RPA atteindra 13 milliards de dollars d'ici 2030, sa taille ayant plus que doublé par rapport à 2020.
La RPA excelle à gérer des tâches répétitives, y compris en langage naturel, comme les appels téléphoniques. Avec l'IA, les processus automatisables vont croître rapidement. Plusieurs plates-formes low-code intègrent déjà des agents LLM dans leurs capacités. L'IA multimodale L'IA multimodale désigne les systèmes qui traitent des textes, des images, de l'audio et de la vidéo. Ce processus est plus complexe que les versions antérieures d'IA générative, car le logiciel doit interpréter des données provenant de différentes sources d'entrée. Il ne s'agit pas seulement de « comprendre » différents modes, mais aussi de « créer » dans différents modes. Par exemple, l'intelligence artificielle multimodale peut composer ou produire une vidéo à partir d'un storyboard pré-écrit. L'IA multimodale peut être utilisée dans l'éducation pour un apprentissage personnalisé et dans le divertissement pour créer des vidéos. Avec l'amélioration de la technologie, ses applications vont se diversifier.
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Durabilité L'intelligence artificielle offre de nombreux avantages, mais elle pose des défis en termes de durabilité. L'empreinte carbone de l'IA générative est considérable. Cela inclut non seulement la consommation d'énergie, mais aussi la quantité d'eau nécessaire à son fonctionnement. Comment une entreprise peut-elle intégrer l'IA dans sa culture tout en limitant les émissions de carbone ? La réponse la plus évidente est d'utiliser la technologie elle-même. En utilisant l'IA, les entreprises pourraient réduire leur empreinte carbone. Par exemple, l'IA pourrait examiner la chaîne d'approvisionnement et élaborer de nouveaux itinéraires de livraison plus durables. Elle pourrait également examiner les domaines dans lesquels de nombreux déchets ont été générés et étudier les moyens de les réduire. En d'autres termes, il s'agit d'examiner comment les processus pourraient être rendus plus efficaces.
Pour réaliser ces changements ... ... il est nécessaire de modifier les processus d'entreprise et d'encourager la collaboration entre les différents secteurs. Par exemple, pour optimiser l'utilisation de l'IA dans un environnement juridique, une entreprise doit associer un expert juridique à un développeur d'IA. Bien que cela semble évident, c'est nouveau pour de nombreuses organisations souvent trop rigides. Une volonté de changement est indispensable. Chez Insight, nous utilisons l'IA pour optimiser les processus internes, par exemple pour traiter les appels d'offres, mieux soutenir nos clients et accroître l'efficacité de nos services. Nous constatons déjà l'impact de l'IA sur le fonctionnement des entreprises. Certains développements futurs pourraient modifier notre façon de travailler de manière significative.
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Directeur du conseil et de la technologie avec plus de 20 ans d'expérience dans l'élaboration de solutions informatiques complexes et de programmes de transformation de l'offre. Application & Data La mission de la pratique Application and Data est de relever certains des plus grands défis informatiques auxquels sont confrontés nos clients, depuis le développement d'applications cloud-natives, la modernisation des applications monolithiques existantes jusqu'à l'utilisation de leurs données et de nouveaux services d'IA pour surveiller, gérer et faire progresser leur entreprise.
Santo OrlandoPractice Director
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Pour étudier l'évolution de l'IA et son impact sur les mesures de sécurité, les organisations peuvent envisager les approches stratégiques suivantes : 1. Investir dans la formation à l'IA : proposer une formation complète à l'IA pour s'assurer que les employés peuvent utiliser efficacement les outils d'IA et favoriser l'innovation. 2. Intégrer l'IA dans les opérations : utilisez l'IA pour rationaliser les processus, augmenter la productivité et réduire les coûts. 3. Collaborer avec des experts : établissez des partenariats avec des spécialistes de l'IA tels qu'Insight pour vous tenir au courant des avancées et acquérir des connaissances.
4. Assurer la qualité des données : mettez en place une gouvernance des données solide pour conserver des données exactes et sécurisées, afin d'améliorer l'efficacité de l'IA. 5. Adopter des pratiques éthiques : suivre des lignes directrices éthiques pour l'IA afin de garantir la transparence, l'équité et la responsabilité, et de renforcer la confiance des parties prenantes.
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Les tendances abordées dans ce rapport, telles que l'IA durable, le Cloud Hybride, la sécurité de l'IA, l'informatique spatiale et la 5G privée, redessinent le paysage technologique et, dans le cas de l'IA, modifient les stratégies d'entreprise. Pour évoluer efficacement dans cet environnement, les organisations doivent embrasser l'innovation et s'adapter rapidement aux progrès technologiques. Il est crucial de maintenir une avance stratégique en raison de la forte concurrence dans le secteur des technologies de l'information. Les entreprises qui ne parviennent pas à intégrer les nouvelles technologies risquent de se retrouver désavantagées face à des concurrents plus agiles. Le présent rapport a mis en évidence le fait que, moyennant un investissement et une attention appropriés, ces technologies ont le potentiel de stimuler ou de révolutionner l'efficacité, de renforcer la sécurité,
d'améliorer l'expérience des clients et de favoriser la durabilité. Cependant, il est important de reconnaître les défis, en particulier les considérations éthiques et de sécurité qui entourent le déploiement de l'IA. Les organisations doivent adopter une approche équilibrée, en exploitant ces technologies tout en atténuant les risques potentiels. En explorant les cas d'utilisation présentés dans ce rapport et en comprenant comment ces tendances s'appliquent à leur situation, les organisations peuvent se positionner pour réussir dans le paysage informatique en évolution. L'adaptation proactive et la mise en œuvre stratégique de ces technologies seront des facteurs clés de différenciation dans les années à venir.
Phil Hawkshaw EMEA CTO & Director of Technology Services